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5 mars 2011


violences policières : marche à Paris 19 mars 2011

compte-rendu rencontre 5-6 février 2011, appel à coordination…


APPEL À LA MOBILISATION
CONTRE LES VIOLENCES POLICIÈRES

FACE À LA MULTIPLICATION DES VIOLENCES POLICIÈRES,
FACE À LA MULTIPLICATION DU NOMBRE DES MORTS
ENTRE LES MAINS DE LA POLICE,
POUR LA MÉMOIRE DES VICTIMES DÉFUNTES,
À TOUTES LES VICTIMES DE LA POLICE ET DE LA JUSTICE :

MARCHE « VÉRITÉ & JUSTICE »

LE 19 MARS 2011 À 15H

SUR LA PLACE SAINT-AUGUSTIN PARIS 8EME,

MÉTRO SAINT-AUGUSTIN (LIGNE 9)

À l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences policières, s’est formée une coalition des familles de victimes mortes entre les mains de la police en région parisienne pour lancer un appel général à toute la population, aux associations et organisations à participer à une marche pour « la Vérité et la Justice » afin de :
- dénoncer cette impunité institutionnalisée pour les policiers et les gendarmes,
- rétablir la Vérité à la Mémoire des victimes,
- protester contre cette injustice organisée par les autorités politiques, judiciaires et médiatiques.

Il est grand temps que nous ne laissions plus fonctionner ce système :
- de lenteur judiciaire,
- de refus d’enquête,
- de refus d’entendre tous les témoins,
- de falsification ou de vol de pièces à conviction,
- de dénigrement généralisé des victimes,
- de soutien public aux auteurs.

Parce que ce système tend :
- à nous habituer aux crimes des policiers ou des gendarmes,
- à les justifier,
- à les banaliser,
- à les normaliser,
- à faire accepter que porter un uniforme donne le droit d’être armé, de torturer et de tuer.

Non, non, non, ce n’est plus possible, ce n’est plus plausible ! Nous avons trop laissé faire !
Nous ne devons plus admettre que : ne pas porter d’uniforme soit un statut de « sous homme », particulièrement quand en
plus on n’a pas le « faciès » requis.

La police n’interpelle plus,
elle tue !

INFOS : http://collectif-vjp-mmarega.blogspot.com/ -
http://coucxx.skyrock.com/
MAILS : collectif-laminedieng@hotmail.fr -
collectif.mamadoumarega@gmail.com



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À TOUTES LES VICTIMES DES ETATS POLICIERS
NOUS N’OUBLIONS PAS LEURS CRIMES...
MANIFESTATION LE SAMEDI 19 MARS 2011 À 15H
contre la répression et les violences policières

2007 : 19 morts
2008 : 11 morts
2009 : 10 morts
2010 : 9 morts

13 avril 2010, Paris 18e : Philippe C. 35 ans, plongé dans le coma suite à une altercation avec un policier dans le commissariat.

24 avril 2010, Chambéry : Mickaël Verrelle 29 ans, battu par un policier et tombé dans le coma.

16 juillet 2010, Grenoble : Karim BOUDOUDA 27 ans, tué d’une balle dans la tête tirée par la police.

17 juillet 2010, Saint Aignan : Luigi Duquenet 22 ans, tué d’une balle tirée par un gendarme dans la nuit de vendredi à samedi au cours d’une course-poursuite après avoir forcé un contrôle.

8 Août 2010, Mantes la jolie ( 78) : un jeune de 17 ans, noyé en tentant d’échapper à la police.

Septembre 2010, Juvisy : Anis Feninekh 28 ans, battu par un policier.

Octobre 2010, Montreuil : un lycéen, touché par un tir de flash ball au visage, a perdu un oeil.

28/29 Octobre 2010, Dijon : Louis Klinger, mort lors de son interpellation par la police.

30 novembre 2010, Colombes : Mahamadou Maréga 38 ans, mort asphyxié.

14 Décembre 2010, Marseille : Mostefa Ziani 43 ans, plongé dans le coma par un tir de flash-ball dans la poitrine, est mort d’un arrêt cardiaque.

2011 : 2 morts

1er Janvier 2011, Seine et Marne : Steve B. 21 ans, tué d’une balle dans l’abdomen tirée par la police.

23 Février 2011, Lyon : un jeune homme de 20 ans, abattu de 2 balles tirées par la police.

C’est en mémoire de toutes les victimes de la police que nous nous rassemblerons le 19 mars 2011 afin de ne pas,les laisser sombrer dans l’oubli comme le voudrait l’état et sa police. Nous dénoncerons la violence de la police etbles services judiciaires qui les laissent jouir de l’impunité et leur octroient constamment n’importe quel alibi.

COMBIEN DE TEMPS ENCORE VA T-ON LAISSER LA POLICE FAIRE JUSTICE ELLE-MÊME EN ABATTANT DE PRÉTENDUS « VOYOUS » ?

Soyons clairs : peu importe ce que la personne était ou avait fait.

Si la peine de mort a été abolie et que la police est formée à appréhender des personnes sans les tuer :

PERSONNE NE DOIT ÊTRE EXÉCUTÉ PAR LA POLICE ET CELA NE PEUT ÊTRE LÉGITIME.

La police est en guerre contre la population que la gouvernement criminalise.

Nous ne sommes jamais en position d’égal à égal face à la police.

Faisant suite à l’Appel de Poitiers pour une Journée nationale d’actions contre la répression et les violences policières, le 19 mars 2011 manifestons à Paris à 15h...

Pour ne plus rester muet face à leur haine et commémorer toutes les victimes de cet état policier.

Appel lancé par les familles de victimes tombées sous les violences policières et leurs comités de soutien « Vérité et Justice » : Abdelhakim AJIMI, Mickaël COHEN, Lamine DIENG, Mahamadou MAREGA, Abou Bakari TANDIA, Bouna TRAORÉ et Zyed BENNA, Laramy SOUMARÉ et Moshin, Reda SEMMOUDI, Ali ZIRI, Yakou SANOGO, Baba TRAORÉ, Féthi TRAORÉ, Louis MENDY.

INFOS : http://collectif-vjp-mmarega.blogspot.com/ - http://coucxx.skyrock.com/
MAILS : collectif-laminedieng@hotmail.fr - collectif.mamadoumarega@gmail.co m



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APPEL AUX FAMILLES DES VICTIMES
DE VIOLENCES POLICIÈRES ET AUX SURVIVANTS
POUR UNE MOBILISATION CONTRE L’IMPUNITÉ.

FACE À LA MULTIPLICATION DES VIOLENCES POLICIÈRES,
FACE À LA MULTIPLICATION DU NOMBRE DES MORTS
ENTRE LES MAINS DE LA POLICE,
POUR LA MÉMOIRE DES VICTIMES DÉFUNTES,
À TOUTES LES VICTIMES DE LA POLICE ET DE LA JUSTICE,

MARCHE « VÉRITÉ & JUSTICE »

LE 19/03/2011 À 15H

SUR LA PLACE SAINT-AUGUSTIN PARIS 8EME,

MÉTRO SAINT-AUGUSTIN (LIGNE 9)

À l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences policières, s’est formée une coalition des familles de victimes mortes entre les mains de la police en région parisienne pour lancer un appel général à toutes les familles ayant perdu un parent pendant une opération de police.

Afin de rompre l’isolement des familles victimes de la police, afin de dénoncer l’impunité des policiers face à la Justice, nous appelons toutes les familles de victimes et tous les survivants à une marche pour la Vérité et la Justice le 19 mars 2011.

Pour que l’opinion publique sache que ces abus de pouvoir, qui conduisent à la mort de plusieurs personnes par an, ne sont pas des « faits divers » locaux mais un phénomène de société passée sous silence depuis des décennies.

La police est en guerre contre la population que le gouvernement criminalise.

La brutalité policière et l’impunité sont constamment justifiées en dénigrant les victimes.

Les policiers sont placés au dessus des citoyens "ordinaires" qui sont contraints d’être sous leur autorité.

Par le pouvoir qui leur est donné, Ils peuvent soumettre n’importe lequel d’entre nous à l’arbitraire que cela soit par le biais d’arrestation, d’incarcération et/ou de violences physiques et/ou morales qui sont de longues dates courantes en France.

De fait, il n’est pas équitable de mettre des personnes au dessus des autres, qu’il y ait des vies plus importantes que d’autres, c’est cela qui incite à l’abus de pouvoir.

Combien de temps va t-on laisser la police faire justice elle-même en exécutant n’importe qui ?

Si la peine de mort a été abolie et que la police est formée à appréhender des personnes sans les tuer :

NUL NE DOIT ÊTRE EXÉCUTÉ PAR LA POLICE ET CES CRIMES NE PEUVENT PAS RESTER IMPUNIS.

Ne restons plus muets face aux interpellations, multiplions les témoignages publics, défendons ce qui reste des droits citoyens face à ces abus de pouvoir meurtriers.

Faisons face à l’Injustice et à l’Impunité, soyons Solidaires les uns avec les autres pour exiger Vérité et Justice à la mémoire et à l’honneur de toutes les victimes de la brutalité policière.

Pour que la population du pays prenne conscience qu’elle doit agir dans son ensemble.

Appel lancé par les familles de victimes tombées sous les violences policières : Abdelhakim AJIMI, Mickaël COHEN, Lamine DIENG, Mahamadou MAREGA, Abou Bakari TANDIA, Bouna TRAORÉ et Zyed BENNA, Laramy SOUMARÉ et Moshin, Reda SEMMOUDI, Ali ZIRI, Yakou SANOGO, Baba TRAORÉ, Féthi TRAORÉ, Louis MENDY.

INFOS : http://collectif-vjp-mmarega.blogspot.com/ -
http://coucxx.skyrock.com/
MAILS : collectif-laminedieng@hotmail.fr -
collectif.mamadoumarega@gmail.com



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COMPTE RENDU DE LA RENCONTRE
« POLICE – JUSTICE – CITOYEN :
VIOLENCES POLICIÈRES – DÉRIVES JUDICIAIRES »
DES 5 ET 6 FÉVRIER 2011

APPEL A UNE ASSEMBLEE DE COORDINATION NATIONALE EN 2011

Les 5 et 6 février 2011, ont eu lieu à Nice (Alpes-Maritimes) un débat
public et une réunion de travail, organisées par le comité de soutien
Vérité et Justice pour Hakim Ajimi, de Grasse.

Le premier objectif de la rencontre du 5 février 2011 était d’apporter
publiquement un soutien large, solidaire et déterminé à la famille Ajimi
dans le difficile combat qu’elle mène pour que la Vérité soit connue et la
Justice rendue à leur fils ainé, Abdelhakim, mort en mai 2008 suite à son
interpellation par la Brigade Anti Criminalité et la police grassoise.
C’est une nécessité pour la mémoire d’Hakim, pour le deuil de la famille,
pour les ami(e)s et pour la société toute entière qui a perdu un de ses
membres.

L’émergence d’une vérité inattaquable est un préalable à l’exercice d’une
justice impartiale et exemplaire qui, seule, peut garantir le bon
fonctionnement des institutions y compris policière et, ce faisant,
assurer pleinement la protection de tous les citoyens, cela hors de toute
forme de discrimination.
Quelle qu’en ait été la cause, personne ne doit perdre la vie au cours
d’une interpellation policière. Les discours politico-médiatiques et
juridiques qui viennent légitimer l’usage de la violence et la mort d’un
être sont une manipulation odieuse et inacceptable.

Dans tous les cas d’homicide policier, il est donc indispensable de
restaurer la mémoire des victimes pour qu’émerge la vérité.
Par ailleurs, il nous faut entretenir cette mémoire. Ne pas s’essouffler,
ne pas oublier, soutenir la mobilisation pour que « l’affaire », les
affaires, ne soient pas enterrées… un combat de longue haleine pour
qu’au-delà de la mort, on n’enterre pas une seconde fois la victime dans
des méandres judiciaires conduisant bien souvent au non-lieu pour les
agents de police impliqués.

RIEN ne peut légitimer la violence et la mort !

Le but de ces journées était donc également d’engager une réflexion de
fond sur ce qu’il convient de faire, concrètement, pour (1) faire éclater
la vérité au grand jour et que justice soit effectivement rendue à Hakim,
mais aussi à tous ceux qui, comme lui, ont été victimes des violences
policières et des atermoiements de la justice, et (2) faire tout ce qui
peut l’être pour empêcher que de telles tragédies ne se renouvellent.
Cette réflexion passait indubitablement par la mise en lumière de la
récurrence des violences policières et, surtout, de leur sens politique.

Les violences policières sont ciblées ; elles touchent essentiellement les
pauvres et en particulier les immigrés, mais aussi les militants
politiques, les « déviants », les insoumis… elles sont « nécessaires » à
la permanence du pouvoir et font partie d’un système. Ainsi, si le thème
principal de ces journées était les homicides policiers, elles furent
nécessairement l’occasion d’aborder les décès en détention, la chasse aux
« étrangers clandestins », les crimes racistes et sécuritaires, la
ségrégation, la répression politique… et toutes les facettes du maintien
de l’ordre.
Au travers de communications et de la projection du documentaire de
Mogniss H. Abdallah « Douce France, saga du mouvement beur » (Agence
IM’media¹), a été fait en quelque sorte « l’état des lieux » pour les
dernières décennies, car le problème n’est évidemment et malheureusement
pas nouveau.

Le matin, Dorsaf Briki a dressé le triste tableau d’une décennie de
meurtres policiers en France. Fatima Derni a évoqué avec une très grande
émotion la mémoire de son frère, Zamani², mort à la maison d’arrêt de
Nantes en 2000. Elle mène depuis 10 ans un combat judiciaire qui pourrait
se clore prochainement… par une prescription ! Ilhan Kiran s’est exprimé
au nom de sa famille qui était également présente, pour rappeler les faits
graves ayant conduit à la mort de son petit frère, Umüt³, exécuté par la
police suisse, et à l’emprisonnement du jumeau de celui-ci, Erdal. Malgré
leur impossibilité d’être présents à Nice, les comités de soutien Vérité
et Justice⁴ pour Lamine Dieng, pour Mamadou Marega, pour Abou Bakari
Tandia d’une part, le comité de soutien Vérité et Justice pour Ali Ziri
d’autre part, se sont joints à nous par des communiqués et la transmission
d’un documentaire « Ali Ziri, Vie et Mort d’un chibani⁵ » (ces documents
sont à disposition, de même que le documentaire en mémoire d’Hakim Ajimi
réalisé par Regarde à vue. Pour cela, contacter le comité Vérité et
Justice pour Hakim Ajimi à l’adresse en bas de page).

L’après-midi, Sihem Souid⁶, Mogniss H. Abdallah, Pierre Tévanian⁷, et
Mathieu Rigouste ont abordé sous différents angles la question des
violences policières : corruption, racisme, formation des policiers ;
manipulation politico-médiatique des esprits, supercheries sémantiques qui
dissimulent la réalité politique des violences policières ; nécessité
économique et politique des violences policières participant d’un système
de domination des populations en général, des populations pauvres en
particulier. Les communications des intervenants sont retranscrites en
ligne par le MRAP 06⁸ à l’adresse suivante : www.differences-larevue.org.

La rencontre publique du 5 février 2011 était ouverte à tous et, de ce
fait, a permis de rassembler des participants d’horizons divers, portés
par une même cause. Près de 150 personnes étaient présentes (selon les
organisateurs !). Elles ont pu s’exprimer librement lors de réels temps de
discussion. Les échanges ont été, sans conteste, riches et fructueux.

Témoignages et compréhension du fait répressif dans son ensemble ont
permis d’appuyer et d’étoffer les perspectives de réactions et d’action
concrètes pour lutter contre les violences policières et la répression.
Le comité Vérité et Justice pour Hakim Ajimi a donc présenté ses axes de
réflexions pour intensifier sa propre mobilisation et l’insérer dans une
lutte collective à l’échelle nationale.
Un de ses objectifs est l’interdiction de la clé d’étranglement enseignée
dans les écoles de police française qui a couté la vie à Hakim Ajimi et
bien d’autres. La France a été condamnée en 2007 par la Cour européenne
des droits de l’homme pour l’usage de la clé d’étranglement. En 2002, le
Comité de prévention de la torture avait déjà demandé d’éviter son
utilisation. Cette méthode d’immobilisation est d’ores et déjà interdite
en Belgique, en Suisse et dans certaines villes des États-Unis. Mekia
Noura Addad a présenté les dispositifs législatifs existant dans ces pays
et villes. Le comité Vérité et Justice pour Hakim Ajimi envisage de
rédiger un projet de loi visant l’interdiction de la clé d’étranglement et
souhaite s’associer à d’autres comités pour porter ce projet et trouver
les relais politiques nécessaires.

Le comité Vérité et Justice pour Hakim Ajimi et ses invité-e-s ont fait le
constat de dynamiques similaires nombreuses à travers le pays, mais aussi
d’un certain isolement, du morcellement de la solidarité, de la
vulnérabilité des familles de victimes et des personnes qui les épaulent
face à l’appareil judiciaire dont la fonction semble être d’essouffler ces
luttes locales… Une mobilisation effective et collective, indépendante des
instrumentalisations idéologiques ou politiciennes, n’est-elle pas une
condition essentielle pour se constituer comme un réel contre-pouvoir et
ainsi faire face aux dérives des institutions ?

Le 6 février 2011, une vingtaine de personnes présentes la veille se sont
réunies pour constituer un groupe de travail. Sur la base des conclusions
de la journée précédente, le besoin de solidarité a été réaffirmé, ainsi
que la nécessité de redécouvrir, créer et mettre en commun de réels
outils de prévention, de défense (caisse de solidarité, plateforme
juridique…).

Aussi, dans la continuité de l’appel de Poitiers⁹ (auquel répond déjà
l’organisation d’une marche « Vérité et Justice » le 19 mars 2011, 15h
place Saint-Augustin à Paris cf. tracts ci-joints), LE COMITÉ VÉRITÉ ET
JUSTICE POUR HAKIM AJIMI APPELLE À CONSTITUER DANS LES PROCHAINS MOIS UNE
ASSEMBLÉE DE COORDINATION NATIONALE réunissant les proches de victimes et
les militant-e-s de base travaillant contre les violences d’État. Les
violences policières ne doivent pas rester impunies !

NOUS VOUS SOLLICITONS POUR PRENDRE PART À CETTE INITIATIVE.

REJOIGNONS-NOUS !

Nous vous invitons à nous contacter à l’adresse mail suivante :
comite_hakim_ajimi@riseup.net

Nous invitons et remercions ceux qui en ont la possibilité de METTRE À
DISPOSITION UN LIEU POUR SE RÉUNIR.

1) http://www.agence-immedia.org/ - http://www.vacarme.org/article204.html
2) http://aflidd.over-blog.com/pages/Un_film_a_voir_JUSTICE_POUR_ZAMANI-175049.html
3) http://rebellyon.info/Ils-ont-tue-Umut-Nous-n-oublierons.html
4) Lamine Dieng, Abou Bakari Tandia et Mamadou Marega :
http://coucxx.skyrock.com/
5) http://www.dailymotion.com/video/xe9h31_ali-ziri-vie-et-mort-d-un-chibani_people
journée de mobilisation en soutien à Arezki Kerfali et en mémoire d’Ali
Ziri le 10 mars 2011 devant le tribunal correctionnel de Pontoise.
6) http://www.mrap.fr/
7) http://sihemsouid.web.officelive.com/default.aspx
8) http://lmsi.net/ (adresse du site du Collectif les Mots sont
Importants auquel participe Pierre Tévanian)
9) APPEL DE POITIERS : Inscription des comités de soutien sur
http://fr.groups.yahoo.com/group/codecoantirep ou par mail :
codecoantirep-subscribe@yahoogroupes.fr ; contact : antirep86@free.fr